mardi 22 août 2017
dimanche 20 août 2017
Carnets de balade...
Une idée m'est venue (si,
c'est possible)…
Et si je vous faisais
découvrir les endroits où nous allons nous balader ?
Au lieu d'accumuler les
photos dans des dossiers sur l'ordinateur, je les partagerai avec vous. Cela
vous permettra aussi de découvrir des coins remarquables où vous n'êtes jamais
allés et dont vous n'avez peut-être jamais entendu parler.
Chaque publication
comportera :
-une carte pour situer l'endroit (merci
Google map),
-une description plus ou moins longue
selon le sujet ou des informations,
-des photos, les miennes et d'autres
glanées sur internet,
-d'une appréciation de l'intérêt du site.
Attention, surveillez vos
mails, ça commence bientôt…
mardi 15 août 2017
dimanche 28 mai 2017
28 mai 2017
Aujourd'hui, c'est la fête des mères.
La 1ère depuis qu'elle nous a quitté...
Souvenirs, souvenirs...
mercredi 10 mai 2017
Livre ou liseuse ?
Lire un bouquin n'est pas
toujours facile.
D'abord, il faut le
trimbaler avec soi. Quand on a un sac, ça aide, mais dans le cas
contraire, pas évident d'avoir des poches suffisamment grandes. Et puis ça les
déforme…
Ensuite, il faut retrouver là
où on en était de la lecture et si on ne veut pas corner sa page, il faut un
marque page.
Avez-vous remarquer que
certains livres sont difficiles à garder ouverts ? La aussi le marque page est
obligatoire si on ne veut pas casser la reliure.
Enfin et surtout, selon
l'endroit ou on se trouve, il faut de la lumière. A l'extérieur ou dans son
appartement, le problème est facile à résoudre. Mais imaginez le soir au lit, si
l'autre veut dormir dans le noir il ne vous reste plus qu'à éteindre la lampe
de chevet …Votre liseuse est équipée d'un éclairage à intensité réglable qui ne
dérangera personne.
Bref, que d'obstacles et
j'en oublie certainement !
Et bien j'ai découvert le
remède miracle : la liseuse. Et voici mes arguments pour faire adopter cet outil…
-
Avoir sa liseuse
avec soi permet l'accès à toute sa bibliothèque et de pouvoir éventuellement choisir
chaque soir un livre différent, ce qui libérera votre table de chevet et les
rayons de votre bibliothèque (ou vous pourrez avantageusement remplacer les
livres par des bibelots avides de poussière)…
-
Votre liseuse se
souviendra de là où vous en étiez pour chaque livre que vous avez commencé
-
Pas de problème
d'autonomie, même si vous êtes un grand lecteur, la charge tiendra plusieurs
semaines et il est peu probable que votre liseuse vous lâche au pire moment (par
exemple quand le nom de l'assassin va être dévoilé).
-
Vous pourrez régler
la grosseur de la police afin que votre lecture s'adapte parfaitement à votre
vue
-
Votre liseuse
sera aussi agréable à lire qu'un livre papier. Pourquoi ? Un peu de technique :
si l'écran d'une tablette, est constitué de millions de points lumineux qui
vont s’allumer pour constituer une
image, l’écran de la liseuse est composé d’une surface blanche (comme une
feuille de papier) sur laquelle on va déplacer des billes d'encre électronique pour composer l’image. Résultat : l’écran à encre électronique est
exactement comme une feuille de papier, il n'émet aucune lumière, ce qui permet de le
lire en plein soleil, chose que je vous mets au défi de faire avec votre smartphone
ou votre tablette...
L'étape suivante est l'achat
de la liseuse. Il y a de nombreux modèles sur le marché, de qualité à peu près
équivalente. Cependant ATTENTION ! Il y a une marque à proscrire totalement : le
KINDLE d'AMAZON.
Pourquoi ?
Voici ce que dit ALDUS un site spécialisé dans le livre numérique :(ICI l'article complet)
" Format propriétaire, appareils verrouillés, impossibilité
de partager des livres avec des proches, impossibilité de disposer de livres
avec un seul tatouage numérique (plus de 150 éditeurs), impossibilité d'acheter
ailleurs que sur Amazon avec son appareil, impossibilité de louer des livres
numériques dans une bibliothèque, traçage et flicage de ses lectures. Clôturer
son compte Amazon, c'est perdre tout. Il faut en prendre conscience, Amazon
nous vend un accès, jamais des livres numériques"….
Voilà, vous êtes prévenus.
Pour ma part, j'ai une liseuse TEA (The E-book Alternative) et j'en suis très
satisfait (Voir ICI...)
Tout ça est très bien me
direz vous mais les livres ? Où vais-je trouver les livres ? La réponse est
très simple :
-
Vous les achetez.
Il faut savoir que désormais tous les livres paraissent également en version numérique,
généralement un peu moins chère que la version papier. L'écart n'est cependant
pas très important, les éditeurs ne sont pas suicidaires, ils ont bien compris
que les ventes de livres papier vont forcement chuter. La transaction est extrêmement
simple, (exactement comme si vous achetiez de la musique) et soit vous
téléchargez directement sur la liseuse (elle ont toutes le wi-fi) soit vous
télécharger sur votre ordinateur et transférez les fichiers sur la liseuse avec
le câble fourni.
-
Vous les
téléchargez GRATUITEMENT : il existe une énorme base de données de livres
libres de droit. Certains parlent de 300000 fichiers !!! C'est le cas notamment
de tous les grands auteurs classiques, français comme étrangers si vous maîtrisez l'anglais. Vous pouvez
vous relire tout Victor Hugo, Lamartine…etc… mais aussi des auteurs plus
récents comme Boris Vian. Absolument prodigieux !!!
-
Et puis, comme
pour la musique, vous pouvez trouver, en cherchant bien, des sites sur lesquels
vous trouverez les derniers titres parus en libre téléchargement. Mais là, nous
sommes bien d'accord que je ne vous ai rien dit J
En conclusion, je dirais que si vous avez lu à un
certain moment mais qui ne lisez plus aujourd'hui, vous pouvez grâce à une
liseuse, retrouver le goût de la lecture et le plaisir de relire des œuvres de
votre jeunesse que vous n'achèteriez sûrement pas (et faudrait-il encore les
trouver).
Si vous êtes prêts à franchir le pas mais êtes
hésitants, n'hésitez pas à me contacter. Je pourrai vous donner des conseils et
même mettre ma propre bibliothèque à disposition. (Environ 130 ouvrages à ce
jour)…
Le King...
Aujourd'hui je vais vous
parler d'un de mes auteurs favoris : Stephen King, écrivain conteur hors pair,sociologue décrypteur des comportements de ses contemporains par le biais de romans mi fantastiques mi horrifiques il brosse un portrait social très réaliste et sans complaisance des États-Unis
Il y a plusieurs mois, le 16 mars 2016 exactement, je vous faisais découvrir une de ses œuvres, peut-être même la meilleure, qui m'avait particulièrement séduit : 23-11-1963 (ICI), et depuis, rien !
J'étais en manque. Il me fallait un King à me mettre sous la dent d'urgence...
Il y a plusieurs mois, le 16 mars 2016 exactement, je vous faisais découvrir une de ses œuvres, peut-être même la meilleure, qui m'avait particulièrement séduit : 23-11-1963 (ICI), et depuis, rien !
J'étais en manque. Il me fallait un King à me mettre sous la dent d'urgence...
Un King, on attend avec impatience
l'annonce d'une nouvelle parution
Un King, ça se déguste
lentement
Un King, on veut qu'il dure le
plus longtemps possible
Un King, on hésite à
l'ouvrir, on redoute ce geste fatal car à partir de ce moment, on se laisse
aspirer par l'histoire, par la magie et la puissance du verbe et on ne peut
plus lâcher avant la fin.
Un King, lorsqu'on tourne la
dernière page, on ressent une sorte de langueur indéfinissable, presque de la
tristesse et on reste longtemps sous l'emprise de l'histoire.
Un King, c'est aussi des
chemins de traverses qui allongent parfois de façon excessive, l'intrigue de
base et il faut parfois s'accrocher.
Un King, c'est aussi ce pouvoir de nous rendre un personnage très attachant puis de le faire disparaître (souvent dans d'horribles conditions) en nous laissant orphelin et un peu désemparé,
Bref, un King c'est l'assurance de passer des moments intenses de lecture.
Un King, c'est aussi ce pouvoir de nous rendre un personnage très attachant puis de le faire disparaître (souvent dans d'horribles conditions) en nous laissant orphelin et un peu désemparé,
Bref, un King c'est l'assurance de passer des moments intenses de lecture.
Cette fois je vais vous
parler des trois romans que j'ai lu à la suite l'un de l'autre.
Il s'agit de :
Ces trois romans ont
plusieurs points communs qui les relient entre eux.
Ils se déroulent tous dans la même ville dont
le nom n'est pas cité mais qu'on peut sans risque situer dans le Maine, état du
nord-est des Etats-Unis, limitrophe du Canada et où il a situé nombre de ses
romans, dans des villes sorties de son imagination (Castle Rock, Derry).
L'action se situe dans les
années 2008/2010 et la ville a beaucoup souffert de la crise et par la description qu'il fait de ces villes et de leurs habitants, King nous fait
bien sentir la dureté de la vie dans cette Amérique là.
Dans les premières pages des
trois romans, c'est la même scène qui est génératrice de la suite du récit.
Mais à chaque fois, la scène implique des protagonistes différents qui seront
la ligne rouge et qu'on retrouvera dans les trois romans dans des rôles plus ou
moins importants.
Il y a également trois
personnages récurrents, Bill Hodges,
officier de police à la retraite et dépressif, Brady Hartfield, Holly Gibney et Jerome
Robinson, je vous laisse découvrir leurs rôles respectifs.
Ces trois romans sont
étroitement imbriqués l'un dans l'autre, pourtant ils peuvent se lire
séparément sans dommage. Ainsi, j'avais personnellement lu "Carnets noirs"
en premier et forcément j'ai voulu immédiatement lire les deux autres, dans
l'ordre cette fois.
Bien entendu, je ne vous
donnerai aucun autre détail sur ces romans, ça vous gâcherait le plaisir de la
lecture.
Une précision cependant à l'attention
de ceux qui ont du mal avec la littérature fantastique et horrifique.
Ici le
King sort de son registre habituel et donne dans le thriller, genre dans lequel
il excelle également (Misery, les
évadés, Dolorès Claiborne…)
Prochainement à mon programme de lecture : Joyland, Le bazar des mauvais rêves, Sac d'os...
Alors, envie de passer des nuits blanches en lisant des romans noirs ?
PS : ces 3 livres font partie de ma bibliothèque numérique.
Si vous êtes intéressés, vous pouvez me contacter.
Sinon, allez lire le billet que je vous ai concocté sur les liseuses →Livre ou liseuse ?
dimanche 2 avril 2017
Deux jours...
Deux jours !
Plus que deux jours à attendre…
Mercredi à cette heure, je serai allongé sous le bistouri du chirurgien qui va me débarrasser de cette cataracte.
Elle s'est installée sur l'œil gauche, insidieusement au fil des ans.
Au début, on n'y fait pas vraiment attention, puis la gêne devient de plus en plus présente, jusqu'à devenir insupportable.
Ma cataracte à moi présente deux particularités.
D'abord, ce n'est pas la cataracte classique due à l'âge, mais une cataracte qui peut apparaître à n'importe quel stade de la vie, même chez les plus jeunes.
Ensuite, le calcul permettant de déterminer la courbure de la prothèse est singulièrement compliqué par la fait que je souffre d'un kératocône, maladie dégénérative de l'œil qui se traduit par une perte de la sphéricité de la cornée qui prend alors la forme d'un cône. (Cette maladie affecte moins d'une personne sur deux mille et est reconnue comme étant une maladie rare).
Si on ajoute que cette cataracte est particulièrement épaisse, au moins d'empêcher la prise des mesures par l'assistante de l'ophtalmo, on comprend que je ne suis pas complètement serein, bien moins en tout cas que lors de la même opération sur l'œil droit en 2010.
Quoiqu'il en soit, cette opération devenait urgente.
Je n'ai quasiment plus aucune vision avec l'œil gauche, ce qui oblige le droit à fournir beaucoup d'efforts et génère une fatigue et des maux de tête récurrents.
Je vous donne rendez-vous dans trois jours pour le résultat.
En principe…
Plus que deux jours à attendre…
Mercredi à cette heure, je serai allongé sous le bistouri du chirurgien qui va me débarrasser de cette cataracte.
Elle s'est installée sur l'œil gauche, insidieusement au fil des ans.
Au début, on n'y fait pas vraiment attention, puis la gêne devient de plus en plus présente, jusqu'à devenir insupportable.
Ma cataracte à moi présente deux particularités.
D'abord, ce n'est pas la cataracte classique due à l'âge, mais une cataracte qui peut apparaître à n'importe quel stade de la vie, même chez les plus jeunes.
Un beau kératocône |
Ensuite, le calcul permettant de déterminer la courbure de la prothèse est singulièrement compliqué par la fait que je souffre d'un kératocône, maladie dégénérative de l'œil qui se traduit par une perte de la sphéricité de la cornée qui prend alors la forme d'un cône. (Cette maladie affecte moins d'une personne sur deux mille et est reconnue comme étant une maladie rare).
Si on ajoute que cette cataracte est particulièrement épaisse, au moins d'empêcher la prise des mesures par l'assistante de l'ophtalmo, on comprend que je ne suis pas complètement serein, bien moins en tout cas que lors de la même opération sur l'œil droit en 2010.
Quoiqu'il en soit, cette opération devenait urgente.
Je n'ai quasiment plus aucune vision avec l'œil gauche, ce qui oblige le droit à fournir beaucoup d'efforts et génère une fatigue et des maux de tête récurrents.
Je vous donne rendez-vous dans trois jours pour le résultat.
En principe…
lundi 27 mars 2017
Inscription à :
Articles (Atom)