Je ne sais pas chanter, alors j'écris ! Pas sûr que ce soit mieux.... Vous trouverez ici de tout et de rien, des articles qui vous surprendront, vous intéresseront, peut-être même vous découvrirez des choses que vous ignoriez, et puis d'autres sans aucun intérêt. Il y en a pour tous les goûts, même les plus mauvais...BONNE LECTURE..............Je ne sais pas chanter, alors j'écris ! Pas sûr que ce soit mieux.... Vous trouverez ici de tout et de rien, des articles qui vous surprendront, vous intéresseront, peut-être même vous découvrirez des choses que vous ignoriez, et puis d'autres sans aucun intérêt. Il y en a pour tous les goûts, même les plus mauvais...BONNE LECTURE..............Je ne sais pas chanter, alors j'écris ! Pas sûr que ce soit mieux.... Vous trouverez ici de tout et de rien, des articles qui vous surprendront, vous intéresseront, peut-être même vous découvrirez des choses que vous ignoriez, et puis d'autres sans aucun intérêt. Il y en a pour tous les goûts, même les plus mauvais...BONNE LECTURE..............

lundi 13 avril 2020

Confinement J+28

Tempus fugit...

Le temps passe, certes, mais lentement.
Comment occuper ces journées sans fin, on commence à épuiser les possibilités, sauf à avoir un jardin. Et encore faut-il aimer cette activité.
Reste la lecture.
Et aujourd’hui, je viens vous parler du livre que je viens d’achever : 

“Seul le silence” de RJ Ellory.


"Le destin de Joseph le héros est scellé lorsqu’on découvre le corps d'une petite fille atrocement tuée, violée, mutilée. dans la petite ville d'Augusta Falls, en Géorgie où il vit. La première victime d'une longue série qui laissera la police impuissante. … ! Le héros sera encore plus concerné lorsqu’il trouvera lui-même une des victimes et d’autant plus quand il va se sentir coupable de ne pas avoir protégé comme promis la petite fille des voisins de la ferme familiale". 

Un thriller ? Non, plutôt un roman noir, très noir, un récit crépusculaire qui nous est raconté
 chronologiquement par le narrateur, Joseph Vaughan, entrecoupé de courts passages qui nous mènent vers le dénouement, pour lequel il faudra toutefois attendre les toutes dernières pages et dans lequel JR.Ellory ne prend même pas la peine de nous expliquer les motivations du tueur.
Qu’importe, on est comme Joseph, sur les nerfs, à bout de force et ne souhaitant qu’une chose, que tout cela s’arrête.
Un livre puissant, émouvant, qui nous fait suivre le chemin de croix qui mènera le “héros” à la limite de la folie, nous faisant partager son approche de l’écriture, comme un exorcisme contre la douleur de la noirceur absolue de sa vie.
Un livre coup de poing à l’écriture magnifique qui fait appel à nos sentiments, nous fait vibrer et souffrir avec Joseph tout au long de son histoire et jusqu’au dernier mot de la dernière ligne...


Pour vous donner une idée du style de l'auteur, je vous livre un extrait : 


"La Mort vint ce jour-là. Appliquée, méthodique, indifférente aux us et aux coutumes ; ne respectant ni la Pâque, ni la Noël, ni aucune célébration ou tradition. La Mort vint, froide et insensible, pour prélever l’impôt de la vie, le prix à payer pour respirer. Et lorsqu’Elle vint je me tenais dans la cour sur la terre sèche parmi les mauvaises herbes, le mouron blanc et les gaulthéries. Elle arriva par la grand-route, je crois, longeant la démarcation entre la terre de mon père et celle des Kruger. Je crois qu’Elle arriva à pied, car plus tard, lorsque j’en cherchai ; je ne trouvai ni empreintes de cheval, ni traces de bicyclette, et à moins que la Mort ne pût se déplacer sans toucher le sol, je supposai qu’Elle était venue à pied.


La Mort vint pour prendre mon père".


et un second :


"Ellis arriva vingt minutes plus tard, jeta un coup d'oeil, vira au vert-de-gris, rendit son petit déjeûner et une bonne partie du repas du jeudi par-dessus la clôture. Il pensa à sa propre fille qui avait eu quatre ans deux semaines plus tôt, et il se demanda si ce qu'ils enseignait au catéchisme était vrai. Dieu est miséricordieux, Dieu est juste, Dieu voit tout et protège les innocents et les faibles. Dieu avait assurément été occupé ailleurs la nuit précédente, et Il avait laissé une autre jeune âme passer de vie à trépas"............


Ca vous donne envie de lire ce livre mais vous ne savez pas comment vous le procurer ?

Si vous m'aviez écouté, il y a longtemps que vous seriez passé à la liseuse, mais rien n'est perdu.
Si vous êtes intéressés, dans mon prochain billet, je vous expliquerai comment et par quoi remplacer une liseuse, et pour ceux qui voudraient franchir le pas, je mettrai à leur disposition le fichier de ce livre et de bien d'autres encore...

A bientôt


Et surtout, prenez bien soin de vous et de ceux qui vous sont chers...







samedi 28 mars 2020

Confinement : J+12


Deuxième semaine de confinement.
Seuls trajets extérieurs, les 40 mètres aller-retour qui nous séparent de la supérette voisine.
C’est difficile...
Et pourtant, par la fenêtre, on voit le ciel bleu, le soleil qui brille, les arbres fruitiers qui fleurissent. Dans le jardin du voisin, un merle sautille à la recherche de sa pitance. Si on pouvait descendre sur le bord de mer, on verrait les puissantes vagues qui, inlassablement, montent à l’assaut de la côte, indifférentes à notre malheur.
C’est difficile...
On a la démonstration de la relativité du temps. Une journée en compagnie d’amis passe si vite, alors que là, entre 4 murs, les heures s’étirent, interminables...
C’est difficile...
Il faut s’habituer à “supporter“ l’autre. Dans ce domaine, les retraités ont un net avantage, ils ont de l’entraînement et savent comment gérer les situations de crise. Mais pour les couples qui ne se retrouvaient que le soir, le face à face peut devenir difficile, d’autant que les enfants, habituellement à l’école ou à la crèche, sont aussi de la partie.
Le maître mot, il faut s’occuper.
Certes, mais à quoi ? On s’aperçoit qu’organiser des activités dans un appartement n’est pas chose aisée, et toujours les enfants, circonstance aggravante ! Pour ceux qui ont un balcon, une terrasse ou mieux un jardin, les choses sont moins compliquées, mais pas simples quand même. On s’aperçoit qu’on a vite fait le tour des possibilités.
C’est difficile...
Et on ne voit pas le bout du tunnel, il va falloir tenir bon.
Pour nous, nous avons été stoppés en plein aménagement. La livraison des meubles que nous attendions a été suspendue et  faute de pouvoir acheter le matériel, pas possible de faire de la peinture, poser les tringles à rideaux, etc.... Alors, on avance petitement, au milieu des cartons non déballés.
C’est difficile...
Heureusement, il reste les téléphones, tablettes et internet.
D’un simple clic, on peut s’évader à l’autre bout du monde, visiter des contrées inaccessibles, découvrir d’autres cultures. Et jouer !
Ce ne sont pas les jeux qui manquent, encore faut-il avoir la fibre joueuse...
Et il y a la télévision....
C’est un bon dérivatif, à une condition impérative : fuir comme la peste les chaines d’info qui du matin au soir diffusent des informations anxiogènes au possible, toujours les mêmes d’ailleurs, le nombre de morts, le témoignage de ceux qui attendent les masques, qu’il faut se laver les mains, (le reste, on ne sait pas) et en tête d’affiche les “experts” qui  nous annoncent soit que tout va bien et que n’est pas si grave, soit qu’on va tous mourir...
Rabattez vous plutôt sur les chaines qui diffusent des bons films, comme France 2 avec “un éléphant ça trompe énormément”, “la soupe aux choux”, et, last but not least, l’intégrale des “gendarmes”...
C’est difficile...
Personnellement, j’ai choisi la lecture. Je tourne à la cadence d’un livre tous les 3/4 jours. A ce rythme, il faut avoir des réserves de bouquins.
J’en ai...
Rappelez-vous, dans un billet de mai 2017, je vous conseillais de passer à la liseuse électronique (A lire ICI). Plus de problème de stockage de bouquins, plus de risques de tomber en panne sans possibilité de se réapprovisionner.
A l’époque, ma bibliothèque comptait 130 ouvrages, aujourd’hui, 904 !
On y trouve tous les genres de littératures, quelques grands classiques, des biographies (Churchill, 850 pages) mais avec une nette prédominance de tout ce qui est polars, thrillers, fantastiques, avec des auteurs comme Chattam, Grangé, Barclay, Kontz, Musso, Child, Patterson et autres King.
Je vais profiter de tout ce temps libre pour réviser mes classiques en relisant toute la collection des San Antonio, du premier de la série “Réglez-lui son compte” qui date de 1949, au dernier “Lâche le, il tiendra tout seul”, paru en 1999.
Soit 174 bouquins ! 
J'espère que le confinement sera levé avant que je sois arrivé au bout !

Je souhaite que  vous aussi avez trouvé comment vous occuper, car il semble bien que nous ne sommes pas au bout de nos peines.
Quoiqu'il en soit, prenez soin de vous et de tous ceux qui vous sont chers.
Et surtout, ne prenez AUCUN RISQUE.....

A bientôt !

dimanche 22 mars 2020

Confinement J+6


Voilà pourquoi il faut impérativement se laver fréquemment les mains...


Prenez bien soin de vous et de tous ceux qui vous sont chers...

jeudi 27 février 2020

Biarritz (1)


2018
Annus Horribilis
Je crois que c’est ainsi qu’on qualifie une année épouvantable.
Mais il ne faut pas s’imaginer que le matin du 1er janvier apporte sérénité et apaisement.
Non, les blessures sont toujours là et on sait bien que si elles elles se refermeront, elles ne cicatriseront jamais. Seul le temps apportera un peu de baume sur nos chagrins.
En ce début 2019, les plaies sont encore à vif et exacerbent notre sensibilité. .
Au téléphone, Colette m’annonce son envie, non, son besoin de quitter cette région à laquelle se rattachent trop de mauvais moments. 
Et, en silence,  je partage ce désir.
C’est drôle, la Côte d’Azur apparaît comme un eldorado où tant de gens rêve de venir s’installer pour profiter de la grande bleue et du soleil quasi permanent. je reconnais que nous étions dans cet état d’esprit.
Mais ça c’était avant...
7 ans plus tard, notre regard sur la région a bien changé. Certes, il fait toujours aussi beau, la mer est chaude et l’arrière pays est magnifique.
Ca c’est pour les cartes postales.
Dans la réalité, la Côte n’est qu’un long ruban de béton, partout où porte le regard, des grues, des grues, des grues. Nice et les communes limitrophes forment une métropole de plus de 500 000 habitants, coincée entre mer, montagnes et aéroport, pollens et pollutions s’y accumulent. Et comme il ne pleut presque jamais, l’air y est vicié et néfaste pour la santé, tout ça vient tapissé nos poumons. Nice-Matin, le quotidien régional, révélait récemment que cette pollution est la cause directe de 500 morts par an !
Je passerais rapidement sur le coût de la vie, chacun sait qu’ici tout est plus cher qu’ailleurs, à commencer par les logements, pour parler de la mentalité de la population.
En Provence, en Occitanie et dans bien des provinces quand vous vous vous vous baladez, vous entendez chanter les accents locaux. Ici, vous pouvez entendre les accents Italien, Maghrébin, Africain, Russe (surtout Russe) où aucun, mais le fameux accent niçois chantant est une denrée rare, très rare. Il faut savoir que la Côte d’Azur est une terre d’immigrés, le niçois d’origine est une espèce en voie de disparition.
Reste une population qui pour la plupart survit tant bien que mal, et plutôt mal que bien, avec un seul objectif : paraître ! Faire le beau ! Avec la bagnole, le logement, les fringues, mais aussi des patates aux repas. Ceci se ressent sur le caractère des gens, pas de convivialité, le sourire en option, bref une mentalité détestable.
C’est tout cela que nous voulions fuir...
Partir, certes, mais pour aller où ? 
Nous avons tellement bougé que nous ne nous sentons nulle part chez nous.
Nulle part ?
Si !
Aussi loin que remonte ma mémoire, j’ai toujours aimé Biarritz. De tout temps j’ai espéré aller y vivre, mais les aléas de la vie sont rarement compatibles avec les rêves et j’avais fini par me contenter de quelques jours de vacances par an, avec toujours ce déchirement lorsqu’il fallait repartir. 
Au fil du temps, Colette avait fini par partager mon attachement à cette ville laquelle elle se sentait particulièrement en phase.
En ce mois d’avril 2019, la décision est prise, nous allons partir. 
Bien, mais zou ?
Cramponné au téléphone, la sueur au front, j’attends avec angoisse que Colette me dise où elle voudrait que nous partions. Dans l'oreille, j'entends ces trois syllabes...
Biarritz !
J’en aurai pleuré.....
 
                                                                                   A suivre...                                                                                                                                   





mercredi 19 février 2020

dimanche 16 février 2020

Home sweet home...


Je vais ouvrir ce billet sur une photo :



Des cartons !

Et qui dit cartons dit ...déménagement !
Et c’est ce qui va arriver : trois ans jours pour pour jour après notre installation avenue de Cannes, les déménageurs vont débarquer pour charger meubles et cartons et les emporter vers notre nouvel home sweet home.
Un déménagement, c’est aussi l’occasion de faire du tri, de se débarasser de toutes ces choses inutiles
dont on s’est dit un jour “ça peut servir”... et dont on s’aperçoit au bout de trois ans que non, ça n’a finalement pas servi.
Tout en triant mes “poupouilles”, je laisse mon esprit vagabonder en repensant à tous ces appartements et maisons dans lesquels j’ai vécu...
Petit tour rapide de ces pérégrinations.
Tout à commencer dans les années 60 à...
1-SAINT-MAURICE
A l’époque banlieue campagnarde de Paris, en lisière du bois de Vincennes et proche de l’Hippodrome.
Puis, le petit appartement étant devenu trop étroit, direction...
2-ALFORTVILLE
Oû je devais rester chez papa et maman jusqu’à 20 ans passés. Mais à un moment, il faut bien quitter le nid et c’est avec Jocelyne ma future femme que je m’installais dans un studio en lisière du bois de Vincennes à...
3-CHARENTON
C’était un logement très sympa, tout proche du boulot et de Paris, l’idéal. Mais trop petit quand un héritier c’est annoncé. Il n’était déjà pas très facile de trouver un logement dans ces années, heureusement, grâce à une relation bien placé à l’office d’HLM, notre dossier fut rapidement traité et nous obtimes un superbe deux pièces dans une résidence toute neuve, à
4-JOINVILLE LE PONT (♪♪♪pon-poooon♪♪♪♪)
C’étaient les années 70, et tous les parisiens rêvaient de partir vivre à la campagne. Nous ne faisions pas exception à la règle, sauf que nous, nous avons mis notre projet à exécution.
Je ne vais pas entrer dans les détails, ce serait trop long, simplement j’avais trouvé du travail dans un secteur alors en pleine expansion, la grande distribution. Alors, un beau jour, début de notre périple. Première étape, la Nièvre où mes parents possédaient une maison de campagne oû nous nous sommes installés dans un premier temps, à
5-ARTHEL
Vivre dans cette maison en pleine campagne, c’était le rêve devenu réalité, sauf que le rêve s’est peu à peu transformé en cauchemar. Le magasin où j’avais été affecté se trouvait à Decize, à 60kms, à parcourir matin et soir. A priori rien d’insurmontable, sauf que mes horaires de travail m’imposaient de partir le matin à 5H, pour un retour au mieux vers 21H. Épuisant. Au bout d’un moment à ce régime, l’évidence s’imposait, il fallait se rapprocher du magasin. C’est à
6-SAINT LEGER DES VIGNES
Que nous avons loué une petite maison, à 5 mn du magasin. Ca m’a changé la vie, mais ça n’a pas durée, car la société me nomma sous-directeur dans un magasin qui allait ouvrir à Prémery, donc, retour à
7-ARTHEL
Qui, le hasard faisant bien les choses, se situait à seulement une 10zaines de kms. Cette situation dura quelques mois, jusqu’à ce que je sois promu au poste de directeur. C’était une grande fierté mais ça imposait un nouveau déménagement dans la ville où se trouvait mon affectation. C’était dans l’Indre, à
8-LE BLANC
Là encore, quelques mois passèrent avant qu’on me propose de prendre la direction d’un magasin tout beau tout neuf à Nevers. C’était trop beau, notre point de chute était tout trouvé, avec un retour à
9-ARTHEL
Juste pour quelques temps, car nous avions choisi de nous rapprocher de Nevers en allant habiter à
10-MONTIGNY AUX AMOGNES
Une maison isolée à l'orée de la forêt mais pas pour très longtemps non plus avant de migrer vers
11-SAINT MARTIN D’HEUILLE
C’est là que sont apparus les premières lassitudes de la vie provinciale et que l’idée d’un retour en région parisienne prit corps peu à peu pour finalement se concrétiser au bout de trois ans. Direction
12-PARIS XIIème
Pour squatter l’ancien appartement de la grand-mère et d’en être expulsé au bout de quelques mois. Grâce aux bonnes relations que j’avais avec la mairie communiste, j’obtins un logement à
13-GENNEVILLIERS
Ce fut la découverte d’une banlieue chaude ou pourtant nous n’eûmes jamais aucun problème, toutefois quand l’occasion se présenta, nous partîmes dans le “sud”, à
14-EVRY
Ville sans âme de la grande banlieue qui fit éclore en nous une allergie à cette environnement et une envie de repartir en province.Une opportunité professionnelle, et zou, direction la région Rhône-Alpes, précisément à
15-VIENNE
Nous avons découvert l’appartement le jour de l’emménagement et nous ne fûmes pas déçus. Un grand appartement à l’ancienne, au coeur de la ville, au pied de la cathédrale, sans doute notre meilleure expérience à ce jour. Puis, suite à une mutation, nous voilà remontés vers le nord, au-dessus de Lyon à 16-MONTMERLE SUR SAÔNE
Dans une petite maison de village avec jardin qui malheureusement était situé à l’étage ce qui nous amena à envisager un nouveau déménagement. Changement de département, nous voici en Saône et Loire, à
17-SAINT-SYMPHORIEN D’ANCELLES
Près de Mâcon. Nous y avons battu tous les records, puisqu’au bout d’un mois, nous repartions, suite à une proposition professionnelle difficile à refuser. Cette fois encore, direction le “sud”, mais cette fois le vrai, la Côte d’Azur, dans une ville à côté de Nice, à
18-CAGNES SUR MER
Petite maison avec jardin, au fond d’un lotissement très calme, proche de la côte et des commerces. Nous y étions bien mais le propriétaire ayant décidé de vendre, nous voilà contraint à chercher un autre logement. Ce sera à
19-CARROS
Cette fois, c’est une grande maison, sans jardin mais avec une courette à l’avant et une grande terrasse derrière. Un peu loin des commodités et du bord de mer. Je ne reviendrais pas sur les raisons qui nous ont fait quitter cette maison, mais me voilà résidant à
20-OUMT SOUK
Ne cherchez pas cette ville sur la Côte d’Azur, elle est bien sur les bords de la méditerranée, mais sur la rive en face. Puis, après pratiquement un an, retour à
21-CAGNES SUR MER
En fait dans l’appartement qu’occupait Colette pendant mes aventures chez les bédouins...Très sympa, mais trop petit, alors, tout en restant à
22-CAGNES SUR MER
Nous trouvons un logement plus grand et à 5 mn de la plage.
Nous semblions nous diriger vers un peu de stabilité, mais les événements en décidèrent autrement.
Une nouvelle fois, il fallait songer au départ, vers une nouvelle destination, à
23- 

Bon, faut que je vous laisse, les cartons ne vont pas se faire tous seuls.
Comment ?
Que dites-vous ?
Je ne vous ai pas dit quelle est cette destination ?
Ah oui, effectivement...
Alors, je vous propose un petit jeu : essayez de deviner. Envoyez votre réponse par la rubrique “envoyez moi un message”...
Dans quelques jours, je vous enverrai un indice.
D’ici là, prenez soin de vous.